Agrippine Hobbs
☾ Faceclaim : Zoë Kravitz ☾ Messages : 90 ☾ Date d'inscription : 08/12/2019
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Dim 8 Déc - 14:38 | | Agrippine Hobbs ft. Zoë Kravitz Crédit avatar : Panda Identité Date et lieu de naissance : 7/09/1987 au Kenya (près du lac Victoria, apparenté au Luyia) Âge : 31 ans Nationalité : Double nationalité : Américaine et Kényane Métier/étude : Maître de conférence : le genre féminin au cours des siècles, des cultures, etc. (Université de la Nouvelle-Orléans). Co-dirigeante d'une association contre la violence faite aux femmes. Orientation sexuelle et statut civil : Ne se met pas d'étiquette, mère célibataire de jumeaux (Yeleen et Andry)
CaractèreDistraite - Insolente - Intuitive - Lunatique - Passionnel - Persuasive - Téméraire - Tenace - Sorcier Groupe (satan's progeny, earth protector ou neutrals) : Satan's progeny Nom du sorcier : Agripprine MamiWata Hobbs (nom d'une divinité Africaine vodou) Familier : Chien (chien loup tchécoslovaque), décédé à ses 16 ans, à acheté une gros chien noir, nommé Sinistre pour combler son manque. Ascendance (pur ou mêlée) : Sang pur Coven : Cœur Pourfendu Archétype : Sirène Don inné et niveau : Suggestion, niveau 3 Don acquis et niveau (même archétype que le don inné) : Absorption d’énergie, niveau 3 Don acquis et niveau : Manipulation des songes, niveau 1 Compétence et niveaux (débutant, intermédiaire, avancé et expert) : Botanique, niveau avancé. Démonologie niveau expert. Endurance niveau expert. Traduction niveau avancé. Vaudou niveau expert. Vol niveau moyen. Grade (coven, conclave, pensionnat) : Aucun grade au sein du coven, elle n'est qu'une simple membre. Spécialisation/divers (facultatif): Elle se fait appeler Pree et elle est connue pour ses talents de vaudou (connaissance hérité de son peuple) et son manque de talent pour le vol.
Questions sur l'Apocalypse As-tu connaissance de l'Apocalypse ?
Toutes cultures à son apocalypse. Elle rôde dans l’ombre, portant mille visages pour garder son anonymat. Pour les Aztèques, elle se nommait conquistador. Pour Pompéi, Stabies, Oplontis et qu’Herculanum, elle arborait le masque d’un volcan. Et quoi qu’on en pense, de l’arnaque ou de la folie, elle est parfois prédite. Les prophéties de Nostradamus sont-elles infondées ? Et comment expliquer celle de Saint Malachie ? Mensonge ou réalité, la fin du monde terrorise, mais elle est ce qu’elle est. Comme tout sorcier de son coven, tous ceux qui ont signé, Pree croit en l’apocalypse, et encore davantage en écoutant le récit de sa jeune sœur. Toutefois, cela ne signifie pas qu’elle l’attend avec impatience ou qu’elle est anxieuse à l’idée de la voir apparaître. Mais y croire, lui permet de profiter de ce que la vie lui offre, même si son cœur n’y est pas toujours.
Que feras-tu quand elle aura lieu ?
L'apocalypse attend juste le bon moment, le meilleur jour pour frapper, mais à chaque fois, quelques choses d’autres renaît à la vie. C’est ce qu’elle a appris de son coven, ce qui disparaît peut renaître. Juste sous une autre forme. En réalité, il n’y a même pas de mot en Swahili pour l’apocalypse, car pour eux, le rien c’est quelque chose. La destruction, c’est quelque chose. Pree a grandit en connaissant sa présence, car en toute chose réside son envers, c’est une dualité qui existe depuis des millénaires et qu’elle respecte. Alors Agrippine laisserait le monde brûler, elle le verrait se réduire en cendres, écouterait les cries sans lever le petit doigt. Car tout avait un but. Tout avait une raison. Lorsqu’une forêt brûle, une autre prend sa place. Elle sera différente, mais la vie reprendra ses droits. Et après tout, si la race humaine est vouée à disparaître, ça ne sera que justice pour toutes ses erreurs.
Histoire ou AnecdotesLe cercle de chaises s’était refermé sur tous ses anonymes, si bien que plus personne ne pouvait s’échapper sans être vu. Côte à côte, chacun observait l’autre, fixant les moindres détails, ils s’observaient dans un silence presque pesant. Certains avaient le regard fuyant, souhaitant que cette soirée ne devienne qu’un simple souvenir, tandis que d’autre, trop heureux d’être entouré, discutait avec leur voisin, cherchant la moindre occasion de meubler ce vide qui les entourait. Pour ces inconnus, il était si facile de reconnaître les habitués, ils apportaient de la nourriture et saluait de la tête ceux qu’ils reconnaissaient. Et puis ils y avaient les petits nouveaux, si anxieux de commettre une erreur en venant ici, mais restaient sagement assis. Tous avaient une histoire, un passé qu’ils traînaient derrière eux comme des valises incroyablement lourdes. Scrutant le moindre visage qui les entourait, ils pouvaient apercevoir les marques de certaines histoires, défiguré par l’alcool, rongé par des choix, martelé par l’abstinence. Petit à petit, les langues se déliaient, déposant dans ce cercle de fortune leur culpabilité, colère, amertume, espoir, excuse, tous avaient à dire quelques choses. Scrutant le moindre visage qui les entourait, ils pouvaient apercevoir les marques de certaines histoires, défiguré par l’alcool, rongé par des choix, martelé par l’abstinence. Tous ces inconnus devenant le dépositaire de la parole de l’autre, trouvant du soutien dans les encouragements d’un leader que personne ne connaissait réellement. Les mots se succédèrent, tous passaient le relais à un autre, écoutant, applaudissant, jusqu’au moment où tous les regards se posèrent sur une seule personne. Se redressant sur sa chaise, la voix enrouée par le manque d’activité, l’étrangère accepta, sans grande volonté, de se livrer.
Je ne sais pas vraiment pourquoi je suis venue ici... Peut-être parce que - sans vous vexer les gars - je ne veux pas finir comme vous... Je suis une fêtarde compulsive… Il est là mon véritable problème. Pour dire vrai, je ne bois presque jamais lorsque je suis chez moi, mais dès que je rentre dans un bar, j’avale des quantités d’alcool. Jusqu’à ce que je sois englouti par le brouillard... Plus de colère, plus de douleur... Plus de contrôle, juste du silence....
L'inconnue restait hésitante, pensive, comme si c'était la première fois qu'elle prononçait ses mots à voix hautes et qu'elle en restait médusé. Ses yeux restaient secs, pourtant, ils transpiraient une tristesse infinie, impalpable, mais si bien ancrée qu'il ne semblait n'y avoir plus aucune étincelle. Elle aurait voulu conclure sa participation sur ce petit discours, mais le leader du groupe l'incitait à continuer, à prendre plus de risque, à livrer les raisons de son manque de contrôle.
Je suis née d’une romance improbable entre deux personnes qui n’avaient rien en commun hormis... Hormis un nom de famille important. En réalité, je n’ai jamais su comment ils se sont rencontrés… Ma mère ne me parlait pratiquement jamais de mon père et lorsque je suis partie vivre en Amérique, je n’étais pas vraiment autorisée à parler d'elle... Souvent, quand j’étais encore toute petite, j’imaginais qu’il l’avait rencontré durant un safari : un bel Américain qui souhaitait vivre le grand frisson, mais au lieu de tomber nez à nez avec un lion, il avait rencontré l’amour de sa vie... Mais j’ai vite compris que ce n’était que de simples histoires et que ma mère me laissait les raconter pour lui éviter de dévoiler la vérité... Une fois encore, la légende était plus belle que la réalité. Mon père était un homme marié. Père de famille. Il avait tout pour être heureux, mais il a quand même eu une liaison. Manque de chance pour lui, ma mère est tombée enceinte... Il m’a reconnu, m'a donnée un prénom, un nom de famille, mais je n’étais pas dans la lumière... La première fois que je l’ai rencontré j’avais environ cinq ans. Je me rappelle encore le regard étonné de ma mère et les interrogations de mes petits frères en voyant cet homme blanc me prendre dans ses bras. Et depuis ce jour, années après années, il revenait pour ses vacances familiales et venait me voir quand sa femme avait le dos tourné. Je ne sais pas vraiment s’il l’a aimé un jour, ou s’ils ont continué à se fréquenter après notre première rencontre... Une fois, je me souviens de l’avoir suivi avec mes deux jeunes sœurs, on voulait voir à quoi ressemblait son épouse, ses autres enfants. J’avoue avoir été déçue, elle ressemblait à n’importe quelle famille, mais elle était à l’opposer de la mienne. J’appartenais à un tout autre monde, et je ne me reconnaissais pas en eux. Ma couleur de peau, leurs manières de parler, tout à vrai dire… J’ai grandi dans un… Une tribu qui m’a toujours accepté, malgré ma différence, mon origine… Peut-être parce que la famille de ma mère a toujours eu une part importante dans notre communauté ou parce que mon peuple tenait réellement à moi. Je ne sais pas vraiment. À ma naissance, la matriarche de ma congrégation à tenue à ce que je porte le nom de mes ancêtres, soi-disant pour me protéger des mauvais esprits... Mon père étant un étranger, elle préférait éviter le pire. Nyota signifie étoile en Swahili. D’où le N. de mon nom de famille. Quand ma mère s’est mariée, elle a tenue à ce que ses autres enfants portent aussi ce N., pour ne pas me différencier de mes frères et sœurs. Aujourd'hui, je ne mets plus ce N. en avant, car j'estime ne plus le mériter, ça fait bien longtemps que je ne suis plus une étoile. En fait, je ne sais pas trop pourquoi je vous raconte tout ça… Ça n’a pas grand intérêt…
La nouvelle anonyme entortillait ses doigts et caressait de temps en temps ses ongles froids contre ses lèvres. Ils portaient l'odeur de la clémentine qu'elle avait mangée avant d'entrer dans cette salle presque vide. Chacun de ses mots était couvert de ce voile d'incertitude et de consternation, mais sa voix se fit plus plaintive.
Ma mère est décédée. Elle n'est pas simplement décédée, elle a été assassinée par des hommes de la ville voisine. C'était la première fois qu'elle quittait sa classe aussi tard, alors on s'est inquiété… Mon beau-père est parti à sa recherche, mais… C'est un de mes frères qui l'a trouvé près de notre domicile. Elle… Elle a eu la langue coupée avant d'être poignardé dans le cœur. Ma mère n'était pas simple une institutrice, elle aimait réellement transmettre ses connaissances aux autres, instruire, mais son plus grand combat était contre l'oppression masculine. J'ai hérité de ses talents pour convaincre les autres, mais la corruption humaine n'a pas de limite et elle n'a pas eu assez d'influence pour se protéger d'eux. Ce soir-là, on n'a pas seulement perdu ma mère, j'ai aussi perdu mon père de cœur. Il l'avait retrouvé finalement… Je… J'ai pris la décision de partir pour soulager ma tante. Elle avait déjà ses propres enfants et je ne voulais pas être un fardeau pour les personnes qui m'entouraient et je crois que… Je ne voulais pas rester. C'était au-dessus de mes forces. Je pensais que ce nouveau départ m'aiderait, mais mon départ ne m'a pas vraiment soulagé ma douleur. Ma famille en Afrique avait implosé, la disparition de mes parents avait provoqué tant de colère et tant de tristesse. Deux émotions que j'ai finalement retrouvées en Amérique, lorsque je suis arrivée j'ai mon père. Comme vous devez vous en douter, il n'était pas ravi, sa femme encore moins. Depuis, ma mère est devenue un tabou, une ombre qui planait sur un mariage qui se pensait solide.
Une larme avait coulé sur son visage d’ébène, laissant apparaître un sillon humide sur sa joue. Reniflant bruyamment, la Kenyane essuya son nez sur la manche de son pull, lui permettant alors de prendre une pause et reprendre ses esprits. Même si elle gardait le contrôle de ses mots, de ses pensées, elle trouvait en ce laïus une forme de libération. Ses traits étaient déformés par la souffrance et ses yeux inondés de larmes, mais elle inspira profondément et continua de se livrer.
Je crois que tout à commencer à ce moment-là, ce mal-être constant… ça n’a pas toujours été facile en Amérique, ce n’était pas la même culture, ni les mêmes croyances ou même connaissances. Ma mère m’avait enseigné l’Anglais, mais ma langue me manquait… J'ai pourtant essayé d'être comme tout le monde, vraiment, mais je n'ai jamais réussi à être dans la norme. A l'école, j'étais celle qui dormait au fond de la classe ou qui taggait les portes des toilettes. J'ai fait pas mal d'erreur, mais ça m'a permit de me faire des amis. Des copains que je ne voyais pratiquement jamais parce que... j'étais inscrite dans un club d'équitation. Oui, je me rends bien compte que je suis adhérente de beaucoup de club... J'aimais beaucoup y aller, j'avais l'impression de pouvoir être moi-même. J'étais vraiment doué, pour... Le dressage et tout ça. Mais qu'est-ce que je haïssais les sauts d'obstacles, ne plus toucher les sols... Non, je n'étais pas très habile pour cette compétence. Ce que j'aimais le plus, c'était de tresser leurs crinières, je pouvais même faire des formes, comme des petites poupées. C'est au Kenya que j'ai appris à tresser de cette manière, un héritage de mes ancêtres.... Pour dire vrai, ça fait des années que je n'aie pas repensé à mes années d'études. Dans ce club, j'avais d'autres amis, qui était bien différent de ceux que je côtoyais à l'école, mais dans les deux cas, j'évitais soigneusement d'approcher les bandes de mes sœurs. Parce que même si elles m'acceptaient de plus en plus, je me sentais toujours à l'écart. Pour dire vrai, je me suis souvent sentie seule, jusqu’au jour où j’ai adopté un... gros chien. Je l’ai perdu lui aussi. Je sais que c’est cliché, mais il était vraiment tout pour moi. Il m’a vraiment apaisé. Il a été écrasé sur un trottoir. La chauffeuse écrivait un texto... Elle n'avait pas vu les travaux, et elle a dévié de sa trajectoire. J'ai pas eu le temps de... Je ne l'ai pas sauvé. Depuis ce jours, je ne me suis jamais aussi sentie seule et vulnérable. Et quoi que fasse ou que je vive, je n’ai jamais réussi à dépasser ce sentiment de fragilité. Et je crois que… c’est à partir de ce moment où j’ai vraiment déjanté. J’ai rejoint mon père dans son… club de motard. Et à partir de là, j’ai obtenu tout ce que je voulais, de n’importe qui, en abusant de la confiance des autres. Je me suis rendu compte que je n’en étais pas très fière… Mais c’est si facile. L’être humain est tellement influençable…
L’anonyme fixait les pieds de la personne qui se trouvait face à elle, triturant toujours ses ongles. Elle semblait ailleurs, comme si elle écoutait un débat intérieur. Un raclement de gorge l’obligea à relever la tête et son visage se détendit.
J'ai bu bien plus que de raison, tellement que j'ai fait de nombreuses bêtises. Un jour, je me suis réveillée dans mon jardin, sur le dos d'un taureau noir. Je n'ai jamais retrouvé son propriétaire… Oui, l'alcool ne me réussit pas toujours… Je ne me souviens même plus de la tête du père de mes enfants. Je suis tombée enceinte de jumeaux lorsque j'avais 22 ans. Beaucoup de femmes de ma tribu en ont, c'est l'ordre naturel, je crois. Je dis à tout le monde qu'il fait partie d'une famille… qui partage ma passion pour… l'astronomie, mais si je dois vraiment être honnête avec vous, je ne sais pas du tout qui il est. Sûrement un gars de plus que j'ai attiré dans mes filets. J'aime mes enfants, vraiment. Ils me forcent à devenir meilleur, mais s'ils ne partageaient ma passion pour l'astronomie, je ne sais pas si mon amour pour eux serait assez fort pour dépasser ça. J'ai toujours peur qu'ils soient cartésiens avec des goûts trop éclectiques pour mon… club de moto. Enfin, ils ont bien le temps de se découvrir… Depuis qu'ils sont dans ma vie, j'ai vraiment évolué, j'ai repris ma vie en main, j'ai fini mes études et réalisé une thèse sur un sujet qui me tenait réellement à cœur, mais je dois avouer que je ressens toujours ce vide en moi. Comme si ce brouillard que je cherche constamment lors des soirées est déjà à l'intérieur… Je vous parlais de mes études tout à l'heure, j'ai choisi de continuer le combat de ma mère, de défendre la femme sous toutes les coutures et de faire connaître au grand public la violence qu'elle peut subir. C'est pourquoi je suis repartie au Kenya, avec mes enfants, pour réaliser ma thèse. J'aurais pu rester là-bas, mais ma grand-mère paternelle m'a demandé de revenir pour ma sœur. Son mari à été assassiné… À chaque fois qu'une personne me prouve que l'être humain mérite d'être aidé, quelques choses arrivent et détruit toutes mes illusions. Il est tellement décevant…
Le discours de l’inconnue fut agrémenté d’encore quelques années doctes, certaines étaient amusantes, d’autres affligeantes, mais elle semblait être heureuse. Libéré d’un poids invisible. Et lorsque la séance se termina, les anonymes quittèrent tous la pièce à différentes allures. Jusqu’à ce qu’il ne reste que l’animateur des alcooliques anonymes et cette femme à l’âme tourmentée. Progressivement, elle s’approcha de lui avec un visage grave. Sa voix se fit plus dure et empreint de froideur.
Tu vas écrire une lettre d’aveux, je ne veux pas entendre ta voix et ne me regarde pas avec ses yeux étonnés. Tu aurais dû quitter ce pays, courir beaucoup plus loin que cette ville miteuse. Prendre cette feuille et écrit toutes les horreurs que tu as fait subir à ton épouse et à tes enfants, la souffrance, la douleur… Tu les supplieras pour qu’ils te pardonnent un jour et quand tu auras fini, tu trouveras la manière la plus humiliante de mourir et tu disparaîtras de cette façon. Pas de larmes. C’est bien ce que tu disais non ? Pas de larmes sur ce joli visage. Merci pour m’avoir permis de parler, c’est dommage, vous étiez doué.
Deux jours plus tard, Pree lisait le journal en caressant la tête de son chien. Un homme avait été retrouvé, vêtu et maquillé comme une femme, décédé dans une chambre d’hôtel. Il n’y avait aucun sourire de victoire sur son visage, seulement cet air de condescendance qui envahissait ses traits lorsqu’elle était réellement en colère. Au fond de son cœur, elle savait qu'elle avait pris la bonne décision. Elle était en paix avec son choix. Cet homme, cet inconnu, un simple humain... Il l'avait mérité. C'était sa mission de protéger les femmes comme la sienne, n'était-ce pas pour cette raison qu'elle avait fondé une association contre le féminicide ? Il avait levé la main une fois de trop et jamais il ne recommencera.Membre Pseudo : Sushii. Âge : 25 ans Comment as-tu connu le forum : Anwen
Mise en danger du personnage : Of cours Éphémère : Nope Pré-liens/scénario/PV ou inventé : Inventé Bretate/Moses. - Book of Beasts
Dernière édition par Agrippine Hobbs le Mar 17 Déc - 21:31, édité 3 fois |
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