Benjamin Cartwright
☾ Visage : ☾ Faceclaim : Richard Madden ☾ Messages : 469 ☾ Date d'inscription : 21/12/2019 |
Sam 21 Déc - 16:19 | | Benjamin Cartwright ft. Richard Madden Crédit avatar : moi-même c'estpourçaqu'ilestpasjojo Identité Date et lieu de naissance : 15 août 1989 Âge : 29 ans Nationalité : Américaine Métier/étude : Secouriste Orientation sexuelle et statut civil : Bisexuel – Veuf
CaractèreRéfléchi –parfois un peu trop- - Bavard - Altruiste – avec les humain- - Endoctriné – Sincère – Protecteurs envers les siens – A un humour bien à lui - Loyal – Têtu – Charismatique parfois – Sociable - A quand même son petit égo – Stratège - Bon vivant – Travailleur - Chasseur Groupe (deadly hunters) : Deadly hunters Type de chasseur : Fantassin, ce n’est pas forcément le rôle qui lui va le mieux vu son caractère, mais c’est ce qu’il a appris à être depuis tout jeune. Il ne s’est jamais vraiment posé la question de s’’il pouvait être autre chose ou pas. Traditions familiales dirons-nous. Il se débrouille néanmoins bien et sans rechigner. Grade ( major général, sergent chef, major chef, sergent, caporal et chefs de brigade, soldat ou recrue) : Soldat, probablement qu’il aurait pu essayer de monter en grade, mais pour l’instant il se trouve un peu trop jeune et encore trop inexpérimenté sur certains points, et puis, il faut bien avouer qu’avoir la vie d’autres personnes entre ses mains n’est pas quelque chose qui le tente réellement. Pour l’instant, il préfère simplement recevoir des ordres. Proie de prédication : il n’y a aucune proie meilleure que l’autre, les deux sont des nuisibles, néanmoins, s’il devait en choisir une ça serait probablement les démons qui viennent directement de l’enfer. Expérience (jeune chasseur, chasseur intermédiaire ou sénior) : intermédiaire
Questions sur l'Apocalypse As-tu connaissance de l'Apocalypse ? Il y a la théorie, et la réalité. Il y a les rumeurs qui circulent, les dires rapportés de génération en génération ; alors s’il ne la connait probablement pas forcément sur le bout des doigts, il sait certaines choses sans être certain qu’il y ait une once de vérité là-dedans. Mais probablement qu’il vaut mieux avoir "peur" et se préparer aux rumeurs, même infondées, que d’être surpris. Alors il s’y prépare à sa façon et de toute manière, quelque chose qui se nomme apocalypse ne peut être « cool », sans danger ou tranquille. Si cet évènement a lieu son nom indique bien la catastrophe encourue. Que feras-tu quand elle aura lieu ? Essayer de sauver le plus d’innocents est ce qu’il aimerait le plus, mais là encore il sait pertinemment que ça ne sera pas aussi simple. Qu’entre ce que l’on veut, la réalité, ce que l’on peut faire, surtout avec l’adrénaline montée à fond il y a de grosses différences. Alors, la réalité sera probablement plus sauver quelques vies, tout en essayant de tuer le plus de méchants possibles. La réalité est probablement qu’il finira crevé dans un coin. Terre à terre, parfois trop. Mais quand de tels évènements se produisent et que l’on veut prendre part à la bataille, sa propre fin est presque programmée.
Test rp Cet encadré est obligatoire pour les personnes qui souhaitent jouer un poste à pourvoir. Pour les chasseurs, il s'agit de major général, sergent chef, majors chefs, sergents, caporales et chef de brigade. Le test est une question de 350 mots.
Histoire ou Anecdotes Issu d’une famille de chasseur, il est le petit dernier – très petit- d’une assez grande fratrie composée de Arthur, Camille, David, Emily & Ethan (jumeaux), Noah ( respectivement ayant 10, 12, 15, 17 & 18 ans de plus que lui). Ses parents s’étaient en effet connus – et mariés- très jeunes, et si tous ses aînés étaient voulus, lui incombait un peu de l’erreur. Pas l’erreur regrettable mais plutôt la bienvenue, qui explique seulement la différence d’âge entre lui et les autres.
Son enfance, de son point de vue a probablement été des plus normales, des plus heureuses, même si quelqu’un qui ne provenait pas d’une famille de chasseur aurait probablement trouvé que ses parents traitaient leurs enfants durement. Les entrainements avaient commencé jeune, forcément au départ c’était juste pour lui faire travailler l’endurance, qu’il puisse plus tard être bon (voire excellent), tout comme ils essayaient de lui apprendre le maniement de certaines armes (arc/dague/épée) avec des objets en bois ou en mousse pour ne pas qu’il se fasse mal inutilement –ça viendrait assez rapidement- parfois sous forme de jeu ludique, parfois sous forme de réel entrainement dur et intensif. Il lui semblait que depuis toujours on lui avait appris que les Sorciers, les Démons, toute créature magique était vile, manipulatrice, destructive. Que toutes ces « créatures » (et non des personnes) devaient finir en enfer, que Eux, les Chasseurs avaient une Destinée toute tracée. La Protection du peuple des autres citoyens, ignorants tout de cela. Qu’ils devaient faire en sorte que personne ne puisse pas faire du mal aux Humains. C’était leur Rôle. Le tout expliqué avec une telle ferveur qu’il s’était imaginé qu’il y avait beaucoup de majuscules aux mots les plus importants. Forcément, l’endoctrinement marchait plus que bien, lui qui avait toute sa famille, les amis de ses parents qui baignaient là-dedans. Leur Cause, était la sienne. Il le croyait – il le croit toujours- avec ferveur. Comment pourrait-il en être autrement … surtout avec certains évènements qu’il avait vus se dérouler sous ses yeux.
Ce fut donc à l’âge de 7 ans qu’il comprit à quel point ses parents avaient raison, à quel point la Magie, ces Créatures pouvaient être dangereuses, nuisibles, qu’il fallait les exterminer, en avoir ‘peur’, les détester. Ses parents et sa fratrie – hormis Arthur- étaient partis pour la journée, voire la nuit. Il restait donc les deux plus jeunes de la famille, l’adolescent de 17 ans qu’était Arthur à l’époque avait bougonné dans son coin pendant deux bonnes heures avant d’aller chercher Benjamin qui déchiffrait lentement mais sûrement un livre pour enfant.
« Bouge Ben, on va se promener dans le bayou.» « Papa a dit qu’on devait pas bouger» lui rappela-t-il sans décrocher le regard de son livre « Il ne le saura pas, allez viens ; je ne peux pas te laisser seul ici. S’il t’arrive quelque chose je me ferai tuer par les parents.» « Et si on se perd là-bas ? Ou qu’il arrive quelque chose … tu crois qu’il se passera quoi ?»
Cette fois le gamin avait plongé son regard dans celui de son frère. C’était plus une réelle question que du sarcasme, même s’il y en avait probablement un fond. Il était certain que son aîné avait une idée derrière la tête sans qu’il puisse dire exactement quoi. De toute manière, il devait le suivre, il n’avait pas vraiment le choix et d’ailleurs Arthur ne tarda pas à lui rappeler :
« Et les parents t’ont dit de m’obéir. Hop debout le mioche.»
Pour toute réponse Ben lui tira la langue, tandis que son ainé ricanait en lui passant néanmoins tendrement une main dans les cheveux. Ils étaient donc partis tous les deux en voiture jusque là-bas. La vérité c’est que le gamin était plutôt content de sortir de la maison, de faire une sortie entre frères. Et puis, ils étaient en journée, qu’est-ce qui pouvait bien leur arriver dans un lieu aussi touristique ? Certes, beaucoup de choses, mais il n’en avait que peu conscience. Lui, savait seulement que c’était la nuit que ça craignait beaucoup. Seulement le temps passait, le soleil commençait à se coucher et Arthur ne semblait pas vouloir rentrer, malgré le fait que le plus jeune lui avait demandé plusieurs fois, lui rappelant de sa voix de gamin que ce n’était pas bien, interdit, qu’ils allaient se faire fâcher… Lui n’avait pas envie de tomber dans la disgrâce familiale alors qu’il n’avait pas eu le choix et il n’était pas franchement rassuré d’être dans ce lieu inquiétant à la nuit tombée. Plus que jamais il collait son frère, toujours sans vraiment comprendre pourquoi est-ce que le plus âgé s’obstinait à vouloir rester ici. Une lubie ? Une folie ? A moins qu’il voulait faire ses preuves ? Un défi avec quelqu’un d’autres ? Ni à l’époque, ni aujourd’hui il n’avait pas pu avoir une réelle réponse. La nuit commençait à bien s’installer, il commençait à avoir faim, froid, il avait des courbatures : son frère semblait oublier que lui avait de beaucoup plus petites jambes que lui. Et il y avait eu de bruit. Inquiet, Ben avait levé le regard vers son frère, et il lui avait semblé que ce dernier bien que stressé avait légèrement sourit. Comme s’il se réjouissait de quelque chose. Perdu, confus, il n’osa pas poser de question. Son frère lui indiqua un arbre dans lequel il y avait une espèce de gros trou dans lequel il pouvait se cacher.
« Je reviens, je vais voir ce que c’est, mais ne bouge pas –là.»
Il s’était tout juste retenu de le prendre par le bras pour le supplier de le laisser seul. Il s’était contenté d’obéir à son aîné, comme on lui avait ordonné. Mais Arthur ne revint jamais. Le gamin avait entendu ses cris, ses gémissements. Il avait vu des ombres, un combat, ou quelque chose à ses yeux qui ressemblait à cela. Mais tout était confus dans sa tête, il ne voyait pas assez bien, il avait trop peur. Il était trop lucide de savoir que s’il faisait le moindre bruit la Chose, quelle qu’elle soit risquait de le trouver, de le tuer. De longues heures durant, il avait néanmoins espéré qu’Arthur reviendrait… mais à la place, le lendemain midi ce fut ses parents qui le –les- trouvèrent.
«Ben, qu’est-ce qui s’est passé ? » avait soufflé doucement sa mère à son oreille.
Mais il était bien incapable de répondre, trop choqué, trop fatigué, trop frigorifié, d’autant plus lorsqu’ils étaient partis devant le corps sans vie et sanguinolent d’Arthur. En état de choc, les jours suivants, Ben n’avait pas réussi à sortir le moindre mot. Qu’est-ce qu’il pouvait dire de toute façon ? Il n’avait rien vu, réellement. Juste une forme vaguement humaine. Juste des grognements. Voire, peut-être même une odeur putride, mais il n’était pas certain que ce n’était pas son imagination qui lui jouait des tours. Et c’est ainsi que ses parents, ses aînés avaient réussi à convaincre encore plus le plus jeune du bienfondé de leur Cause. Les Sorciers, les Démons étaient nocifs. Ils devaient tous les détruire, sans exception. Pour Arthur, pour tous les humains, les chasseurs morts à cause d’Eux. Ils avaient attisé sa haine, sa peur envers les Créatures et lui les avait crus sans jamais se poser la moindre question. Ainsi va la vie.
Et les années avaient passé, à ses 15 ans, il avait choisi sa spécialisation : fantassin. Même si le mot choix n’était pas forcément des plus appropriés, disons plutôt que c’était une tradition familiale, tous en étaient, il ne pouvait pas réellement y déroger. Est-ce que si ça n’avait pas été une tradition il aurait choisi autre chose, lui-même n’en savait trop rien, pour lui ça avait toujours été sa Destinée, ce rôle. Il voulait faire honneur à sa Famille, les rendre fiers. Il voulait se montrer digne de tout cela, des Chasseurs. Il voulait poser sa pierre à l’édifice pour sauver les humains des Créatures, de l’Obscurité, du Mal. Et il continua sa route, s’arrêtant pour l’instant au grade de Soldat. Il n’était pas fait pour être un réel leader, même s’il en avait certaines qualités. Il ne voulait pas ça, obéir aux ordres, comme il l’avait toujours fait avec sa famille était quelque chose qui lui allait mieux, beaucoup mieux.
Outre ce côté chasseur, à l’école il avait toujours été bon élève, probablement qu’il aurait pu faire de longues études, mais il avait choisi une toute autre voie : devenir secouriste, aider les humains dans le besoin. Ca c’était lui. Penser beaucoup plus aux autres –humains- qu’à lui-même. Il aimait ce boulot, même si ce n’était pas toujours simple, pour ne pas dire compliqué aussi bien physiquement (notamment à cause des horaires), que psychologiquement, et encore ils n’étaient pas dans une immense ville comme New-York !
Le seul point qui péchait, qui on peut dire ça comme ça, c’était plus sa vie sentimentale. On ne pouvait pas dire qu’elle était chaotique, mais plutôt assez compliqué. Depuis qu’ils étaient en couche-culotte, avec sa meilleure amie Violet –aka Vivi-, ils étaient quais-inséparables, ils s’entendaient à merveilles, à un tel point que les deux familles - de chasseurs- voyaient là déjà un bon mariage. A l’adolescence, néanmoins ses rêves semblèrent s’envoler un peu en fumée, il s’avéra assez rapidement que même si Violet avait eu quelques relations avec des hommes et que cela ne la dérangeait pas, elle préférait quand même les femmes. Et si Benjamin était lui aussi bisexuel, il préférait cacher un maximum cette autre façon de lui à sa famille, bien qu’avec Violet il soit de nombreuses fois allé en dans ses bars plus à orientation LGBTQ. Violet elle, assumait pleinement, défiait ses parents qui ne voyaient pas cela d’un œil pour diverses raisons et chaque année qui passait, ils faisaient de plus en plus pression sur elle. Ils voulaient –ces idiots- la remettre dans le droit chemin, comme si c’était un choix. Ce genre de discours avait tendance à le faire vomir, il n’y avait pas de droit chemin, ce n’était pas une maladie ou il ne savait quelle connerie inventée par des étroits d’esprits. Il avait essayé, en tant que meilleur ami, et ami de la famille, d’expliquer aux parents de la jeune femme, qu’ils n’avaient pas à avoir peur de quoi que ce soit, qu’elle n’avait pas le choix, qu’elle continuerait à être leur fille, à être chasseur. Mais il échoua à chaque fois. Jusqu’au jour, où probablement les parents Violet l’avaient eu à l’usure. Elle était arrivée, presque en pleurs à la fin de son service, lui disant qu’il fallait qu’ils parlent.
« Benjy il faut que l’on se marie.» avait-elle dit comme ça de but en blanc.
Il avait d’abord était surpris, puis avait explosé de rire, croyant qu’elle plaisantait avant de reprendre son sérieux en voyant que ce n’était pas le cas. Il comprenait, il savait pourquoi elle disait cela. Probablement que ses parents voulaient la marier avec quelqu’un d’autre, avec un inconnu, ou alors peut-être qu’elle était simplement las et fatiguée de tout ça.
« Tu sais bien que l’on se marie par sentiments. Je t’adore, t’es super canon, mais… t’es ma meilleure amie… et on peut pas dire que je ressemble trop à une meuf. Enfin, j’espère.» essaya-t-il de plaisanter alors que ce n’était pas bienvenue. «Vivi, c’est… tu te rends compte qu’on devra passer notre vie ensemble, sans réels sentiments l’un envers l’autre, enfin sans Amour. Qu’on devra être fidèles et compagnie. C’est un sacrifice, pour nous deux. On ne pourra pas être heureux Vivi, on a 23 ans... et toute la vie devant nous.»
Elle avait parlé, beaucoup parlé. Beaucoup trop. Il la sentait à bout, prête à faire une connerie et, égoïstement, il ne voulait pas la perdre. Ils allaient droit au désastre, il le savait… mais il était trop loyal envers sa meilleure amie pour la laisser tomber. Alors, il accepta, mais ils ne devaient pas faire ça comme ça, pour être crédible, il fallait qu’ils y aillent petit à petit. Heureusement, ils avaient toujours été tactiles l’un envers l’autre, cela simplifierait un peu les choses. Des mois durant, au grand plaisir de leurs familles, ils s’étaient donc de nouveau rapprochés, avait fait semblant de sortir ensemble. Ou plutôt non, ils sortaient ensemble. Et, lorsqu’ils eurent 25 ans, ils purent sauter le pas et se marier réellement. La situation était toujours loin d’être simple, ils restaient proches, des meilleurs amis mais … l’Amour ne semblait pas vouloir pointer le bout de son nez. Ils avaient essayé, pourtant l’un et l’autre de se convaincre qu’ils pouvaient s’aimer. Probablement que pour lui, se convaincre de cela était plus simple, peut-être même qu’il y avait un peu d’amour là-dedans, du réel amour, mais il n’en avait jamais été réellement certain. Il y avait beaucoup trop d’ambigüité là-dedans. Ils avaient espoir qu’un jour cela arriverait. Ils avaient droit au bonheur n’est-ce pas ? Beaucoup disaient qu’ils faisaient un beau couple, ce n’était pas faux, ils étaient complices, se complétaient, s’entendaient à merveilles… mais il n’en restait pas moins qu’il manquait cette petite flamme.
Et puis –presque parallèlement-, elle était tombée enceinte, renforçant probablement un peu plus leur lien, les enfonçant néanmoins un peu plus dans le mensonge dans lequel ils s’étaient enfouis, engloutis. Ils avaient toujours dit que si l’un ou l’autre rencontrait quelqu’un, ils divorceraient… ce qui ne s’était jamais fait, et cet enfant scellé encore plus le pacte de mensonges qu’ils s’étaient faits. Comment divorcer, partir, maintenant qu’il y avait cette petite vie en plus ? Le temps défilait, les choses ne changeaient que peu, leurs vies étaient géré entre le boulot, les chasseurs, les entrainements avec ces derniers (ou tout seul pour pourvoir bien se défendre en cas d'attaque, pour bien pouvoir accomplir ses missions) et tout le reste. Oui, les années passaient et pour chacun la haine de ses Créatures restait la même. Lui ne pourrait jamais oublier cette fameuse nuit, et pour elle, c’était probablement juste l’endoctrinement de ses parents qui faisait toujours effet.
Ils eurent un petit garçon, âgé aujourd’hui d’un peu plus de trois ans, du nom de Adam.
Mais, encore une fois le Destin sembla toquer à sa porte, début août 2018, il y a donc un peu plus d’un mois. Alors que la journée avait commencé des plus normalement, avec son binôme ils furent appelés pour une intervention. Une voiture renversée dans un fossé, beaucoup de sang, mais il n’y avait rien d’autres. A leur arrivée, la police était déjà là, leur expliquant dans un premier temps que la personne se trouvant dans la voiture n’avait pas été retrouvée pour l'instant mais qu'elle ne devait pas être loin vu tout le sang qu'elle avait perdu. Il jeta alors un coup d’œil sur la voiture et son sang se glaça totalement. Lui qui était d’un naturel plutôt à garder son sang-froid le perdit presque instantanément frôlant par la même occasion l’hystérie et pour cause, c’était la voiture de Vivi. Ils durent se mirent à plusieurs pour ne pas qu’il se précipite trop là-bas, pour qu’il se calme.
Disparue. Enlevée. Evaporée. Personne n’avait d’explications dans le monde humain. Mais lui, il en était certain, c’était un Démon, un Sorcier qui avait agi. C’était forcément l’un deux les coupables, même s’il n’y avait aucune preuve dans ce sens-là. Une victime, encore une. La Haine était plus grande que jamais. Les entrainements plus intensifs. Il la vengerait. Il comprendrait. Il lui promis.
MembrePseudo : Ludies Âge : ça pique un peu trop de le dire (30) Comment as-tu connu le forum : Je suivais le projet sur Bazzart Mise en danger du personnage : Pas de souci, du moment qu’il n’est pas tué (mais peut-être qu'un jour, même à ça je dirai oui ) Éphémère : non Pré-liens/scénario/PV ou inventé : inventé Bretate/Moses. - Book of Beasts
Dernière édition par Benjamin Cartwright le Dim 22 Déc - 12:43, édité 2 fois |
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